Comprendre le cadre CRFD

Depuis le 1er janvier 2025, les obligations de déclarations financières obligatoires liées au climat (CRFD) sont entrées en vigueur pour les plus grandes entreprises australiennes. Mais ce n’est qu’un début. La portée de la loi s’élargira considérablement en juillet 2026, puis à nouveau en juillet 2027, intégrant progressivement un nombre croissant d’organisations dans son champ d’application.

Pour les entreprises gérant des portefeuilles immobiliers, l’enjeu est de taille. Le reporting climatique n’est plus une option — il est de plus en plus encadré, surveillé, et intégré aux décisions opérationnelles et financières.

Qui est concerné ?

Les seuils du CRFD ont été conçus pour intégrer les organisations selon leur taille, leurs actifs et leur chiffre d’affaires. Ils évoluent dans le temps comme suit :

Critères 2025 2026 2027
Employés >500 >250 >100
Actifs 1 billion AUD 500 million AUD 25 million AUD
Chiffre d’affaires 500 million AUD 200 million AUD 50 million AUD

 

Les organisations répondant à au moins deux de ces critères — ainsi que certains déclarants NGER et grands fonds de pension — seront tenues de publier des informations sur :

  • La gouvernance climatique, la stratégie et la gestion des risques
  • Les émissions de scope 1 & 2 (le scope 3 devient obligatoire à partir de la deuxième année)
  • Des analyses de scénarios climatiques identifiant les risques et les opportunités

Le défi de la conformité

Pour de nombreux propriétaires de portefeuilles immobiliers, se conformer aux exigences du CRFD peut sembler écrasant. Le reporting traditionnel sur tableur est chronophage, sujet aux erreurs, et souvent réactif plutôt que proactif. Le temps que les données soient compilées et analysées, des informations précieuses peuvent être perdues, alors que les échéances de déclaration approchent dangereusement.

L’extension progressive de la loi accentue encore la pression. À mesure que les seuils diminuent et que davantage d’organisations deviennent concernées, il devient évident que les processus manuels de reporting ne sont pas viables à grande échelle.

Transformer la conformité en pilotage continu

C’est là qu’Akila propose une solution concrète. En intégrant les données bâtimentaires, la performance opérationnelle et les indicateurs climatiques sur une plateforme unique, traçable et vérifiable, Akila transforme le reporting climatique, qui relevait auparavant d’une course contre la montre, en un processus fluide et continu.

Parmi les fonctionnalités clés :

  • Suivi en temps réel de l’énergie et des émissions à l’échelle de chaque actif, garantissant une précision constante des données
  • Modélisation des risques climatiques et opérationnels, pour anticiper et réagir face aux scénarios futurs
  • Historique de performance prêt à l’audit sur l’ensemble du portefeuille, simplifiant la conformité et assurant la transparence vis-à-vis des parties prenantes

Avec Akila, le reporting climatique passe d’un fardeau réglementaire à un levier stratégique : réduction des coûts, renforcement de la résilience, et positionnement durable à long terme.

Se préparer à un élargissement du périmètre

Les seuils du CRFD baissent, et la portée de la loi s’élargit. Les organisations qui adoptent dès maintenant des processus de reporting robustes et technologiques bénéficieront d’un avantage net — non seulement en matière de conformité, mais aussi en efficacité opérationnelle et en prise de décision stratégique.

En s’appuyant sur des plateformes comme Akila, les propriétaires d’actifs peuvent répondre avec confiance aux exigences réglementaires, optimiser leurs performances, et démontrer leur engagement aux investisseurs, aux régulateurs, et à l’ensemble de la société.

La question n’est pas de savoir si le CRFD affectera votre organisation — mais quand. Êtes-vous prêt ?